top of page

Petit miracle: prostate



« Stéphane, je viens de revoir mon docteur. Il me suit pour la prostate. Comme je ne voulais pas prendre de médicaments chimiques, il me suit avec imagerie médicale. C’est un ami. Et bien à ma dernière visite, il m’a dit que c’était la première fois qu’il voyait une prostate réduire (alors qu’elle était bien gonflée) sans médicament. Je ne lui ai pas dit que je prenais des macérats de bourgeons ».


Tant mieux si les macérats ont aidé à réguler cette prostate.


En recevant ce témoignage, où les macérats de poirier, séquoia avaient fait suite à l’alcoolature de fleurs d’épilobe, une pensée me traversait l’esprit : c’est un peu dommage que si peu de médecins soient ouverts aux thérapies naturelles, et il est parfois bénéfique que les patients osent parler des thérapies naturelles qu’ils expérimentent.

La médecine avance en s’ouvrant à la discussion avec les premiers concernés : les malades. Osez parler avec votre médecin. Et si vous ne pouvez pas parler avec lui, voyez s’il est vraiment le médecin qu’il vous faut.

Il y a des médecins qui écoutent, qui partagent, et d’autres qui ont moins cette capacité ou cette disponibilité. Faites avec ce qui vous correspond le mieux.


Je me rappelle de ce médecin du Pays Basque où on m’avait envoyé quand je passais une phase difficile de ma vie. Dans la salle d’attente, il régnait un calme particulier. Les personnes attendaient un long moment pour la consultation. Quand je suis entré dans son cabinet, sa patience, son écoute, ses conseils… ont été des remèdes merveilleux.

Il ne m’a jamais prescrit de médicaments au cours des diverses consultations. Juste des conseils, de la bienveillance. Il prenait son temps avec chacun. Le temps nécessaire.

Les cas bénins étaient traités rapidement, et ceux qui nécessitaient un approfondissement étaient étudiés avec patience. Bien que d’autres médecins exerçaient dans cette ville, son cabinet ne désemplissait pas. Je garde un souvenir particulier de ce médecin qui m’a tellement aidé… sans rien faire de particulier en fait, juste être ce thérapeute qui avait plusieurs cordes à son arc et écoutait ses patients. Et les patients pouvaient parler. Sans crainte d’aucune sorte.

Il y a dans la relation au thérapeute une confiance qui est présente. Sans confiance, nous ne sommes pas à la bonne place.


Il existe peu de ponts entre thérapies naturelles et médecine conventionnelle. La culture, le langage même sont si différents, on dirait que ‘il manque une porte entre ces deux univers qui cohabitent sur les mêmes espaces. Peut être un jour… Et ce jour peut venir par l’ouverture des médecins, et aussi par l’ouverture de leur patientèle qui accepte de partager chaque petite victoire, chaque petit miracle de leur maladie et de leur santé.


Posts à l'affiche
Posts Récents
Archives
Rechercher par Tags
Pas encore de mots-clés.
Retrouvez-nous
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
bottom of page