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  • Photo du rédacteurStéphane Boistard

Alternative au médicament (témoignage)



Rhian nous écrit un témoignage de son amie Ghislaine qui a choisi d'arrêter son traitement médicamenteux pour la tension pour cause d'effets secondaires indésirables. Plutôt que d'essayer de contrer ces effets indésirables, elle a choisi de substituer le traitement médicamenteux par un macérat de gemmothérapie.

En aucun cas les conseillers en gemmothérapie ne doivent se positionner sur l'arrêt d'un traitement médicamenteux, que seul un médecin ou pharmacien pourrait conseiller. Notre rôle est d'accompagner avec la gemmothérapie ce processus choisit volontairement par la personne qui suit ce traitement.

Avec l'aubépine, les témoignages que nous recevons de personnes ayant volontairement substitué le traitement médicamenteux par le macérat de bourgeon sont positifs. Voici pourquoi nous partageons le courrier de Rhian.

Dans le traitement à long terme, n'oubliez pas que le macérat concentré peut être dilué.

N'oubliez pas non plus que la gemmothérapie agit sur le terrain, c'est à dire que des temps de pause permettent de voir si le problème est résolu ou s'il s'agit de continuer à prendre de la gemmothérapie.

Souvent, lorsque le macérat semble ne plus fonctionner, ce que j'appelle le "phénomène d'habituation", il s'agit d'alterner avec un autre macérat (pour changer un peu l'information), de changer le dosage ou la concentration... mais comme toute règle, seule l'expérience apporte la conduite à suivre. Comme nous le montre le témoignage de Rhian et Ghislaine.

" A la rentrée en septembre, Ghislaine était en pleine forme. Elle prenait régulièrement le macérat d'Aubépine et sa tension était toujours normale. Elle avait totalement arrêté de prendre les médicaments prescrits par son cardiologue qui lui faisait mal au ventre.

Je lui ai quand même dit de faire attention parce que cela faisait 5 mois qu'elle prenait le macérat et que son corps pourrait réagir moins à l'information au bout d'un certain temps. Et c'est à ce moment là qu'elle m'a avoué qu'elle n'osait pas arrêter les gouttes au bout des 21 jours, de peur que quelque chose lui arrivait …. Elle prenait l'Aubépine de façon continue depuis plusieurs mois ! Quelques jours auparavant, Stéphane nous avait demandé de faire des essais avec des dilutions, comme partie de notre formation à distance.

Donc j'ai demandé à une amie cueilleuse, fin septembre, de préparer une dilution pour Ghislaine, qui était tout à fait partante de faire le cobaye. Christine nous a rassuré qu'avec une dilution, Ghislaine n'était pas obligée de s'arrêter au bout des 21 jours. Entre-temps, mi-novembre j'ai appris comment faire une dilution sensible lors d'un stage de Gémmothérapie sur le Bassin d'Arcachon avec Christine et Stéphane. Et quand je suis retournée la voir fin novembre pour un bilan elle m'a avoué que la dilution avait marché. Pas de changement de tension.

Par contre, il ne lui restait plus de produit dilué. Je lui ai expliqué les principes de la dilution et le lendemain, toute contente, elle avait préparé sa propre dilution !

Ghislaine a toujours été une grande dame indépendante, dynamique avec beaucoup de volonté ! En échange, elle m'a offert son dernier macérat de cassis et un conseil : au printemps elle cherche à utiliser des bouteilles plus pratiques pour ses macérats. Les nôtres ne coûlent pas toujours très bien. Donc cet hiver, nous voici à la recherche de petites bouteilles avec un compte goutte. Type Fleur de Bach.

Je déduis que, cueillir c'est se recueillir. Alors que les arbres nous demandent de partager leurs dons et de créer nos propres réseaux, comme eux. "

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